''L’art italien fournit couleurs, matières et décors à l’immense fresque proustienne, et toute la recherche est marquée par les lignes invisibles de l’art de Giotto, de Mantegna et d’autres peintres italiens. Proust se sert des œuvres des grands maîtres pour nous plonger dans des décors, caractériser des personnages, peaufiner les descriptions, sublimer dans des valeurs éternelles les périssables réalités soumises au Temps.
Eléonora Marangoni, Proust et la peinture italienne, édition Michel de Maule, 18 euros.
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