Les riches ne donnent jamais aux pauvres, ou ne donnent que des miettes. Il faut donc que les pauvres s'organisent, se défendent, essaient de transformer la société (...) : telle est la mission, aujourd'hui comme hier, de la gauche.
Je ne parle pas d'un Etat mondial, qui me parait ni possible ni souhaitable, mais d'une politique à l'échelle du monde, ce qui suppose des négociations entre Etats, des rapports de forces, des compromis, enfin des accords ou des traités.
André COMTE-SPONVILLE
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