Andréa Camilleri veillit et son héros fétiche également. Le commissaire Montalbano glisse dans la facilité : de l'histoire qui nous semble déjà lue, des dialogues par trop légers, des personnages manquant de profondeur voire même d'humour et/ou de noirceur. Ce dernier opus n'a qu'un seul intérêt : à chaque page on lorgne vers la table de nuit en se disant vivement le prochain livre. Une déception. Et pourtant j'achèterai encore le suivant, c'est comme ça.
Andréa CAMILLERI, Les ailes du sphinx, Fleuve noir 2010
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.