Les romans d'Andréa Camilleri font parti de ceux (des rares auteurs) que je n'emprunte jamais à la bibliothèque. Je ne peux pas attendre tellement le plaisir de la lecture immédiate l'emporte sur l'attente sage. C'est impossible. La vie dans cette Sicile populaire, le vocabulaire imagé et les personnages attachants y sont pour beaucoup. Pourtant cette nouvelle édition des aventures du commissaire Montalbano m'a laissé sur ma faim. Non seulement parce qu'on devine la fin de l'histoire mais qui finalement n'est que secondaire mais plus encore parce que cette fois-ci le commissaire est tombé dans le piège logique que lui tendait l'auteur : celui de la lucidité.
Et pourtant c si bon
Rédigé par : k | lundi 23 mars 2009 à 08:39