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Profitant d'un séjour d'une semaine à Strasbourg, j'en profitai pour aller visiter les musées de la ville celui des beaux arts et celui d'art moderne. La présente note ne détaille pas l'ensemble des oeuvres vues mais je m'arrête un instant sur un tableau de William Bouguereau. Intrigué je recherchai sur internet des informations sur ce peintre et voici ce que je trouvai : né à La Rochelle, prix de Rome en 1850, membre de l'Institut en 1876, William Bouguereau (1825-1905) remporta par ses grandes décorations murales, ses tableaux mythologiques ou ses peintures religieuses pleines de sentimentalisme un succès incroyable de son vivant. Sa pâte lisse, son application dans le détail en font un représentant de ce qu'on appelle l'académisme, c'est-à-dire la reproduction de techniques apprises qui ne dérange en rien les attentes du public. C'est la perfection dans la banalité dira Emile ZOLA. Pourtant un de ses tableaux, intitulé La vierge consolatrice attira mon regard. Il y avait quelque chose de plus dont je n'ai pu expliquer l'impression qui sourdait d'une tristesse désespérée et qui me mis mal à l'aise; c'est en m'approchant et en lisant la petite note présentant l'oeuvre que je compris. En 1875 William Bouguereau perdit sa femme et son dernier fils. Ce tableau fut peint juste après.
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eh bien l'écriture semble comme le tableau...de proportion gigantesque!
pour le reste je ne suis pas sure qu'elle soit si consolatrice!
Rédigé par : karine | mercredi 23 janvier 2008 à 17:38